Après le repas et le café

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il y a 4 ans

Après le repas et le café, d’un commun accord, nous décidâmes que « dodo » c’était bien. Une fois sous la couette, pendant le câlin, je te demandais, si tu te sentais pour une petite « vengeance » au sourire et regard plein de désir, je compris que c’était oui. Je commençais par t’embrasser, puis descendit doucement et caressa tendrement tes côtés et ta poitrine.

J’arrivais au point critique et me fit caressante, quand je sentis ta main passer entre mes jambes. J’attrapais doucement ta main pour la remonter jusque au-dessus de ta tête en t’embrassant dans le cou. Je redescendis doucement. Trois minutes plus tard, c’était tes deux mains qui venaient à l’assaut. Je les ais remontées et te dis tendrement que j’aimerai que tes mains restent en haut, sinon, j’allais être obligée de les attacher. Je t’embrassais à pleine bouche et t’entendis gémir. Je souriais. Je cherchais uniquement ton plaisir. Je savais que le mien viendrait quand j’arriverai à faire le tien. Tes mains sont revenues me voir et je pensais en souriant, « chasser le naturel, il revient au galop ». Je m’arrêtais et te dis tout en t’embrassant :

« _ Je vais devoir vous attacher les mains, Monsieur

_ Si tu veux, ma puce.

_ Il va bien falloir, un dominant reste un dominant »

Je souriais. Je descendis du lit, attrapais une paire de menottes et revins à ton côté. Je pris une de tes mains et refermais le bracelet en cuir en faisant en sorte, qu’il n’y ai aucun moyen que tu te fasses mal. Je fis de même avec l’autre. Puis, je les accrochais aux anneaux du lit, de la manière la plus confortable.

Je t’embrassais tendrement en te chuchotant que maintenant, il était temps que je te rende le plaisir que tu m’avais donné.

Je redescendis en déposant une ligne de baiser, de ton cou à ton bas-ventre. Je continuais la ligne jusqu’à ton côté droit puis pris le sens inverse pour rejoindre ton côté gauche. Mes mains firent pendant ce temps, des allers-retours sur tes côtes, tout en douceur, s’arrêtant de temps à autres, pour titiller tes tétons. Ce qui ne manquait de te faire remuer de plaisir dans les bracelets.

Ma bouche allât trouver ta verge. J’en embrassais la base, avant de la prendre doucement en bouche. Je laissais mes dents recouvertes de mes lèvres. Mon mouvement était lent et doux. Nous avions tout notre temps et je voulais une montée en douceur. Mes mains voyagèrent sur tes testicules et jouèrent avec en les serrant délicatement, les faisant rouler, au même rythme que le va et viens de ma bouche sur ta queue. Tu frissonnas quand mes ongles caressèrent l’intérieur de tes cuisses et je souris. Tu grossissais de plus en plus entre mes lèvres et je me décidais à retirer, juste un peu mes lèvres et t’augmentais mon rythme. Cependant, je te sentais monté en plaisir, mais je ne voulais pas t’achever maintenant.

J’arrêtais mon va et viens, embrassais ta verge et remontais délicatement mes mains et ma bouche vers ta poitrine, déposant au passage, quelques baisers perdus et caresses volantes. Mes mains trouvèrent tes tétons et ma bouche ton cou. Je jouais avec tes tétons, les faisant tourner entre mes doigts doucement, dans un sens, puis dans l’autre les pinçant doucement et les malaxais tendrement et je repris depuis le début. En même temps, je déposais des dizaines de baisers dans ton cou, de chaque côté. Je t’entendis gémir de plaisir, ce qui m’indiquais que j’étais en bonne voie. Une de mes mains quitta ta poitrine et j’attrapais la roulette. Je la fis rouler délicatement sur ta peau et tu sursautas. Je relâchais l’instrument de « torture » et mes mains allèrent se poser dans les tiennes et mes doigts s’emmêlèrent aux tiens. Je vérifiais visuellement que tu ne t’étais pas fait mal en tirant si brusquement sur les liens, puis t’embrassais profondément et passionnément avant de dire d’une voix douce et caressante :

« - Doucement, mon amour, tu n’as rien à craindre, absolument rien à craindre.

  • Je sais, j’ai juste été surpris

  • Désolée, je la range promis »

Je déposais la roulette sur la table de chevet et repris ma délicieuse torture. Je t’embrassais doucement sur la bouche pour me faire pardonner, puis tout le long de ta mâchoire et de ton cou, avant de redescendre vers ta verge.

Je la repris en bouche et commença le mouvement doucement. Tu été déjà dur, mais ce n’était pas grave. Mes mains allèrent trouver tes tétons et je commençais à te faire perdre la tête. Dans ma bouche, tu grossis encore et je retirais totalement mes lèvres de mes dents. Tu grognas de plaisir et j’augmentais mon rythme. Tu te contractas deux ou trois fois et je décidais d’arrêter, ce n’étais pas comme ça que je voulais que tu exploses de plaisir.

Je me mis à califourchon sur toi et mes mains libérèrent les tiennes, en déposant quelques caresses au passage. Ton regard me demanda pourquoi et je te répondis en te mordillant l’oreille, que je voulais te sentir en moi pour te faire partir, mais, que je ne voulais pas te faire mal. Voilà pourquoi, j’avais besoin que tu aies les mains libres.

Tu te positionnas correctement à l’entrée de mon sexe et je terminais de m’empalais doucement sur toi. Et gémissement de plaisir commun nous échappa. C’était si bon, j’aime te sentir en moi. Mes mains trouvèrent les tiennes et nos doigts s’entremêlèrent.

Je commençais à onduler doucement, tout en t’embrassant. Mes doigts se crispèrent dans les tiens, quand je te sentis grossir encore en moi. J’augmentais le rythme de mes ondulations, tout en faisant attention à ne pas te faire mal. Mes mains quittèrent les tiennes pour aller trouver tes tétons. Les tiennes trouvèrent mes hanches afin de guider mon mouvement. Tu me fis accélérer et je me soulevai légèrement de manière à ajouter un mouvement de va et viens à mes ondulations. Tu te crispas de plaisir deux ou trois fois et je décidais qu’il était temps que je t’emmène au bout.

J’augmentais le mouvement de mes doigts sur tes tétons et ceux de mon bassin, afin de te mettre au bord de l’explosion. Je gémissais de plaisir en concert avec toi. Au bout de quelques minutes, je te sentis exploser en moi. Une fois la pression retombée, j’attendis deux-trois minutes avant de me retirer de toi et de t’embrasser. Je m’allongeais à ton côté, tu m’embrassas et me pris dans tes bras pour un dernier câlin, avant que nous sombrions tous les deux dans le sommeil.

Auteur : Inconnu

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